30 juin 2006

La peau est-elle du e-paper ?

A découvrir via Internet Actu : La peau comme interface
("Greggory Daigle revient sur le concept de tatouages électroniques [...] il imagine à quoi ces tatouages pourraient servir : comme indiquer, par le biais d’une icône, l’état émotionnel de son porteur ; vous souvenir d’informations selon votre localisation ; ou vous permettre de communiquer dans un environnement bruyant sans dire un mot. “En connectant votre PDA à l’internet, il serait possible qu’on vous envoie des messages qui s’afficheraient directement sur votre peau, ou de louer votre visage à une grande marque pour qu’elle y fasse de la publicité.” (Dans la même veine voir le billet de Nouvolivractu d'octobre 2005 : Des écrans sous la peau)
A signaler également sur Internet Actu un intéressant billet de Hubert Guillaud toujours, sur l'avenir des techniques d'impression...

28 juin 2006

Rencontres e-paper Tebaldo entre innovation et discrétion

Discrétion et réserve étaient de mise pour cette troisième journée autour du papier communicant, organisée par Tebaldo et qui fit cependant salle comble. Ce contraste souligne bien la place et l’importance stratégique de cet observatoire Tebaldo, fondé et dirigé par Bruno Rives.
Organisée dans les locaux du journal Les Échos, qui avaient créé l’événement lors de la précédente session de mars 2006 en annonçant en avant-première la sortie pour l’automne prochain d’une version sur Reader Sony de leur titre (voir billet Les échos sur e-paper), cette troisième édition se révéla beaucoup plus retenue.
Ce 27 juin 2006, l’événement ne fut malheureusement pas au rendez-vous. Emmanuel Schalit, directeur du Groupe d’édition La Martinière, annoncé comme devant présenter la politique de son groupe vis-à-vis de l’arrivée prochaine sur le marché français des nouveaux appareils de lecture, s’étant, d’après ce qui a été dit, envolé pour New-York la veille au soir…
Nonobstant, tant le groupe La Martinière, que des représentants d’autres acteurs majeurs de l’édition (Gallimard Jeunesse, Fleurus…) étaient bel et bien présents dans l’assistance. Et ce n’est certainement pas un hasard.
Tant l’observation que les témoignages que nous pouvons recueillir sur le terrain, dans les familles, la vraie vie des vrais gens en somme, confirment une mutation du lectorat. En résumé : si les juniors rechignent à lire nos livres (les livres papier traditionnels, que nous pourrions qualifier de livres 1.X), ils manifestent en revanche une incontestable attraction pour les nouveaux supports de lecture (livres 2.0).
Ouvrages pratiques et jeunesse comprennent certainement les contenus les mieux adaptés et adaptables, à la fois, aux nouveaux supports de lecture, et, aux lectorats de demain.
Demain, chaque lecteur aura son appareil de lecture personnel. Il s’agira d’un ebook de nouvelle génération, véritable bibliothèque de poche customisée aux goûts de son propriétaire. Entièrement personnalisables, ces “readers” permettront de se constituer et d’emporter partout avec soi sa propre bibliothèque de plusieurs centaines d’ouvrages. Au-delà les fonctions, aujourd’hui déjà facilement concevables de texte zoomable, d’indexation, signets, recherches internes, définitions et traductions instantanées de termes, annotations, lecture hypertexte, etc., l’appareil permettra la composition de livres à la carte, la gestion de fiches de lecture, l’échange avec d’autres lecteurs, ainsi que le téléchargement sur des plateformes de contenus… Doté d’une ergonomie prenant en compte notre rapport sensuel à l’objet livre (prise en main et maniabilité, couverture soignée, confort de lecture équivalent au papier traditionnel…) il s’adaptera intuitivement aux pratiques de lecture de son utilisateur (avec possibilité de garder en mémoire et de gérer plusieurs profils, choix d’une police et d’une grosseur de caractère, etc.). Il s’agira d’appareils de lecture à écran tactile, communicant et rich média, avec une autonomie d’une année.

Concrètement concernant le marché français, trois readers seraient en compétition pour des lancements durant le dernier trimestre 2006 : le Reader Sony (sortie prévue en France en septembre 2006, au prix prévisionnel de 275 euros), Jinke Reader V2 (environ 349 dollars), Iliad d’iRex (entre 300 à 700 euros). Les prototypes ont déjà été présentés dans plusieurs billets de Nouvolivractu…

Plus les échéances de la commercialisation approchent et plus les acteurs, de ce qu’il faut bien reconnaître comme une mutation de la chaîne du livre sont discrets… Mais, sur Nouvolivractu, nous reviendrons prochainement sur ces Rencontres Tebaldo et sur la préparation de l’édition française à ces grands bouleversements qui l’attendent…

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20 juin 2006

Le lecteur d'ebooks gratuit Mobipocket Reader

"Le lecteur d'ebooks gratuit Mobipocket Reader est maintenant disponible pour les téléphones portables sous Symbian OS S60 3rd Edition et UIQ 3.0. Capable de lire divers formats (dont un format spécifique avec DRM) d'ebooks, il peut aussi être utilisé pour consulter des flux RSS et un utilitaire sur le PC est capable de convertir des fichiers divers (HTML, Adobe PDF, Word, RTF...) en ebook lisible avec Mobipocket Reader. Les contenus peuvent être synchronisés entre le PC et le mobile Symbian..." (Source Mobigeeks)

16 juin 2006

Skypecast sur le futur du livre

Francis Pisani lance le 1er Skypecast sur le futur du livre ce lundi 19 juin à midi. Toutes les infos pratiques sur Transnets en cliquant ici. (Pour info : "Le Skypecast [rappelle Francis Pisani] est une modalité qui permet à un groupe de jusqu'à 100 personnes d'avoir une conversation gratis sur l'internet, indépendamment de l'endroit où chacune d'entre elles se trouve. Nous en avons déjà réalisé un auquel ont participé une quarantaine de personnes. Un peu chaotique au départ, l'expérience s'est révélée passionnante et nous avons décidé de recommencer.")

Numérisation : ne pas avoir peur

«J’ignore à quel rythme, dans les dix ans qui viennent, l’adoption des nouvelles technologies fera tache d’huile dans la société, mais ce dont je suis sûr, désormais, c’est que ça ne s’arrêtera jamais.» dixit Denis Zwirn, Président de Numilog dans le troisième volet de l'enquête de Livres Hebdo : "Le livre dans 10 ans"("Numérisation, neuf raisons de s’y faire. Demain, les éditeurs diffuseront des textes, plus du papier ; les livres vogueront vers les PDA en bonne intelligence avec les films, la musique, la télé ; les familles s’abonneront à des bibliothèques de livres immatériels… Mais «l’erreur serait d’avoir peur», conseille un spécialiste techno.")

15 juin 2006

Livres Hebdo lance son site Web

Livres Hebdo, le magazine des professionnels de l'édition vient de lancer son site Web : livreshebdo.fr et, chose importante : il y a du contenu. A visiter régulièrement et à mettre dans ses favoris donc...
(Extrait annonce : "La première version du site internet de Livres Hebdo est en ligne depuis cette semaine. Actualités, agenda, meilleures ventes constituent les principales rubriques actuellement en ligne. La dimension interactive n'est pas oubliée avec le blog de Daniel Garcia (vos commentaires sont les bienvenus) ou encore des forums thématiques (Les bibliothèques dans 10 ans). Rendez-vous sur www.livreshebdo.fr")

Littérature numérique

Revue Formules N°10 : Littérature numérique, et caetera (400 pages)
Dossier Littérature numérique, sous la direction de Serge Bouchardon.
"Depuis plus de trente ans, des auteurs créent des oeuvres littéraires sur ordinateur, des oeuvres de «littérature numérique», que d'aucuns appellent «littérature électronique», «littérature informatique», «e-littérature» ou encore «cyberlittérature». Pour ces auteurs, il ne s'agit pas de diffuser des textes littéraires sur un support numérique, qu'il s'agisse d'un CD-ROM ou d'un site web. Non. Il s'agit de convevoir et de réaliser des oeuvres spécifiquement pour l'ordinateur et le support numérique, en s'efforçant d'exploiter certaines de leurs caractéristiques : technologie hypertexte, dimension multimédia, interactivité... De quelles oeuvres s'agit-il ? En resteront-elles au stade expérimental, ou bien annoncent-elles un nouveau paradigme littéraire ? Le dossier du numéro 10 de la revue Formules présente différentes formes de littérature numérique, propose différentes approches théoriques et donne à lire des points de vue d'auteurs..."

14 juin 2006

Philips dévoile son e-paper

"LG Philips vient de présenter sa dernière version de l'e-paper. Cette dernière est selon les dires du constructeur la plus grande "feuille" au monde avec une diagonale de 14,1 pouces. Ce modèle utilise une encre électronique mise au point par E-Ink Corp appliquée sur un substrat inoxydable. La résolution maximale est 1280x800 en 16 niveaux de gris et avec un temps de réponse de 300 ms. Le groupe estime pouvoir commercialiser son produit en 2008." (Source : Dernières nouvelles du papier électronique, sur GNT).

Le futur du livre

A lire la série de billets Le futur du livre sur Transnets, le blog de Francis Pisani :

13 juin 2006

Epson dévoile son e-paper

"Les Japonais de Seiko Epson ont développé un prototype de papier électronique à la résolution impressionnante de 1536 x 2048 pixels. Avec sa taille de 7,1 pouces, cet écran possède pratiquement les mêmes dimensions qu'une feuille de papier A6 soit 10,5 centimètres sur 14,8. L'affichage sur papier électronique est un domaine de recherche important pour de nombreux constructeurs. Ce terme est d'ailleurs trompeur puisqu'il s'agit bien d'écrans. C'est la finesse et la flexibilité des feuilles de plastique (proche de celles du papier) qui servent à sa fabrication qui ont amené ce glissement sémantique. Au vu de ses capacités à être plié ou enroulé, les concepteurs du e-paper pensent qu'il peut remplacer le papier pour les journaux. [...] Ainsi, la mémoire flexible a été présentée l'année dernière. Conçu avec le même plastique que l'écran, elle s'adapte aux courbures de ce dernier..."
Extrait du papier Tendance : Le papier électronique en voie d'amélioration, par Martyn Williams et Denis Poillerat sur DigitalWorld.fr

Le fabuleux destin du livre

"Chacun [contenu textuel, appareil de lecture, lecteur] aura sa propre histoire : l’appareil, qui sera lié à un lecteur particulier, qui pourra savoir les habitudes de ce lecteur particulier ; et puis les textes qui eux, seront immatériels, transiteront, s’échangeront, se cloneront …"
Cette réflexion de Frédéric Kaplan, chercheur au Sony Computer Science Laboratory de Paris, dans Livres Hebdo (648, 2 juin 2006, page 73 [Lire l'interview de Frédéric Kaplan par Daniel Garcia].) ouvre de grandes perspectives.
Avec le numérique et la technologie e-ink, le livre est en train de dépasser l’horizon du simple objet de consommation courante.
Demain, chaque lectrice, chaque lecteur aura son appareil de lecture personnel. Il s’agira d’un ebook de nouvelle génération, customisé aux goûts de son propriétaire. Entièrement personnalisable, il permettra de se constituer au fil de sa vie et d’emporter partout avec soi sa propre bibliothèque de plusieurs centaines d’ouvrages.
Au-delà les fonctions, aujourd’hui déjà facilement concevables, d’indexation, de recherches internes, définitions et traductions instantanées de termes, annotations, lecture hypertexte, etc., l’appareil permettra la composition de livres à la carte, la gestion de fiches de lecture, la mémorisation et la mise en perspective de ses lectures, l’échange avec d’autres lecteurs, ainsi que la communication et le téléchargement avec les plateformes du savoir que seront les médiathèques.
Doté d’une ergonomie prenant en compte notre rapport sensuel à l’objet livre (prise en main et maniabilité, confort de lecture…) il s’adaptera intuitivement aux pratiques de lecture de son utilisateur (avec certainement la possibilité de garder en mémoire et de gérer plusieurs profils…).
Fondamentalement dédié au texte, cet appareil multimédia constituera une encyclopédie universelle et donnera également accès à l’ensemble de la presse internationale en temps réel (actualisation, gestion des abonnements, traduction instantanée, veille et alertes personnalisées sur les centres d’intérêt de son propriétaire, etc.).
Le livre deviendra un compagnon de vie au même titre, aujourd’hui, que nos animaux familiers.
Le livre accèdera à une nouvelle dimension, plus proche de la pensée.

11 juin 2006

Le lyber en 10 points

Le lyber ? Une idée intéressante présentée par les éditions de l'Eclat en 10 points dans le Petit traité plié en dix sur le lyber de Michel Valensi :
(Extraits) "1. L'apparition du numérique nous oblige à reconsidérer la question des supports.
2. Un support peut en cacher un autre, ou nous en faire découvrir les meilleurs aspects. [...] Un "livre" téléchargé confirme que le Livre est sans équivalent...
[...] 4. Pourquoi ne pourrait-on pas lire les livres intégralement avant de les acheter ? Parce qu'un livre, une fois lu, perd tout intérêt ? Qui dit cela ? Parce que les éditeurs ont intérêt à ce qu'on ne sache pas à l'avance à quel point ce livre est sans intérêt ? ..."
La suite à découvrir absolument en cliquant ici...

09 juin 2006

Reader de Sony sortie reportée en Europe

"Prévue initialement pour mars 2006, la sortie du Portable Reader de Sony vient à nouveau d'être reportée. Le lecteur portable de Sony initialement prévu pour le printemps dernier est aujourd'hui annoncé pour la fin de l'été 2006. Aucune précision n'a été apportée sur les raisons de ce retard [...] Le lecteur portable de Sony, le PRS-500, est un écran noir et blanc de 6 pouces d'une résolution de 800x600 capable d'afficher des livres électroniques depuis une carte Memory Stick ou Secure Digital. Le PRS-500 pourra lire également les MP3 aussi bien que les JPEG et le PDF. Le prix annoncé pour la date initiale de lancement est d'environ 275 €." (Source GNT)

08 juin 2006

Le livre dans 10 ans (suite)

Deuxième volet de l'enquête Le livre dans 10 ans dans le numéro 649 de Livres Hebdo à paraître demain.
Le thème de cet opus : Bibliothèques : vers le big bang.
"Avec la dématérialisation des textes, le rôle des bibliothèques est bouleversé. Faudra-t-il toujours des établissements en dur dans dix ans ? Que prêtera-t-on, si tout est virtuel ? Et que feront les bibliothécaires de leurs savoirs ?
«Aujourd’hui, en bibliothèque, c’est l’hybridation qui marche. Et ce sera encore plus vrai demain. Plus l’information sera virtuelle, plus les gens éprouveront le besoin, par compensation, de disposer de lieux physiques où échanger leurs connaissances.» Patrick Bazin, directeur de la bibliothèque de La Part-Dieu, à Lyon."

Les éditeurs français face à Google

Deux postures se dessinent concernant les réactions de l'édition française face à l'initiative de numérisation de Google. Elles reflètent logiquement la fracture qui se creuse sur le terrain (le marché) entre, les petits éditeurs indépendants, d'une part, et, les grands groupes internationaux, d'autre part. Elles font écho aussi à la polémique vite étouffée lors du Salon du livre de Paris de mars 2006.
En deux mots : pour les grands groupes la position des éditions La Martinière est emblématique...
A lire, par exemple, sur NetEconomie le papier de Ariane Beky : L'éditeur La Martinière poursuit Google en justice ("Propriétaire d'une quinzaine de maisons d'édition, La Martinière affirme qu'une centaine de ses livres ont été numérisés "sans autorisation" par le spécialiste américain des technologies de recherche sur Internet. Au nom de trois de ses filiales, les éditions du Seuil en France, Delachaux & Niestle en Suisse et Harry N. Abrams aux Etats-Unis, le groupe a déposé plainte devant le tribunal de grande instance de Paris contre Google Inc. et sa filiale française. Le groupe fondé et dirigé par Hervé de la Martinière réclame "un million d'euros de dommage à titre symbolique et des astreintes très lourdes de 100.000 euros par jour et par infraction", a précisé le Dga du groupe, Emmanuel Schalit...") ou bien La Martinière à l'assaut de Google sur Libération.fr.
Pour les éditeurs indépendants, le Rebonds de Alexandre Laumonier éditeur et directeur des éditions Kargo dans Libération du 07 juin 2006 est particulièrement pertinent et à lire absolument. Sous le titre : Les petits éditeurs votent Google il développe l'idée que "La numérisation des livres et leur consultation en ligne accroissent leur visibilité sans nuire au marché." et argumente dans ce sens avec intelligence. (Extrait : "Pourquoi donc signer avec Google Livres ? Tout d'abord parce que cela permet une visibilité du livre sous une forme nouvelle. La visibilité en librairie d'un travail éditorial, notamment dans le secteur des sciences humaines, est de plus en plus difficile. Faible mise en place des livres, quand elle ne baisse pas, avec des retours de plus en plus précoces. Pourquoi s'opposer au feuilletage d'un livre sur l'Internet, et ce pour des années, lorsqu'on le permet en librairie pour quelques mois ? Kargo propose la totalité de son catalogue sur Google Livres, avec, au bout de quatre mois : plus d'une centaine d'exemplaires vendus par cet intermédiaire. Un tel chiffre fera sourire les poids lourds du milieu, ceux-là prompts à envahir les librairies avec des livres copiés-collés. Mais pour un (très) petit éditeur, ce chiffre est loin d'être négligeable...")
Pour découvrir Google Livres France cliquez ici.

07 juin 2006

Des écrans flexibles pour lire en 2007

Au cours du SID 2006 (Society for Information Display. San Francisco du 04 au 09 juin), le groupe LPL (LG.Philips) présente un écran flexible de 14,1 pouces destiné aux applications de papier électronique.
"D'une taille de 14,1 pouces, il a une épaisseur de 300 µm. Sa résolution est de 1280 x 800 pixels, en noir et blanc puisqu'il est destiné à une utilisation comme papier électronique. Le ratio de contraste est de 10:1. L'angle de vue est de 180 ° dans toutes les directions. L'écran utilise l'E-ink, une encre électronique ainsi qu'un substrat de feuille métallique pour améliorer la souplesse, comparé aux substrats de verre. Rappelons qu'il faudra attendre 2007 pour voir apparaître les premières applications grand public basées sur du papier électronique." (Source Présence PC)

02 juin 2006

Le livre dans 10 ans

A lire dans le Livres Hebdo de ce jour : "Frédéric Kaplan : Les livres se souviendront de leur histoire. Chercheur, Frédéric Kaplan a commencé par étudier les comportements de lecture qui nourrissent une réflexion originale sur l'avenir du livre. Le premier volet d’une série d’articles consacrée à ce que pourrait être –ou ne plus être– le livre dans une décennie.
«Je ne suis pas de ceux qui pensent qu’il y aura basculement du livre papier vers le livre électronique, mais au contraire que les consommateurs définiront des usages complémentaires.»..."
Lire également : "Un nouveau Pistil à l'étude. Depuis 2004, le Plan interprofessionnel de soutien aux technologies de l'information des petites librairies indépendantes (Pistil) a aidé plus de quatre-vingt librairies à acquérir ou à renouveler leur équipement. Une nouvelle version destinée à de plus petits libraires est en préparation."
(LIVRES HEBDO 648 du 2 juin 2006)

01 juin 2006

Bibliothèque numérique

Une bibliothèque numérique sert à quoi ? Pourquoi numérique ? Quels sont les avantages par rapport à une bibliothèque traditionnelle ?
Si vous vous posez ces questions, vous aurez des réponses pertinentes par vidéo en cliquant ici...